El acceso a la información geográfica, herramienta de reconfiguración de las relaciones centro-‐periferie: el proyecto Geobolivia
Louca Lerch, Universidad de Ginebra [email protected]
hAp://www.unige.ch/ses/geo/index.html
www.geo.gob.bo
MARGENES TERRITORIALES DE LOS PAISES ANDINOS Y RELACIONES CENTRO – PERIFERIA EN LA MUNDIALIZACIÓN 01.11.2012
«La asimetría de la información corresponde a una asimetría de poder económico sobre el mercado».
Joseph S?glitz
hBp://www.telegeography.com
Indice
① La geo-‐codificación del mundo y la organización “por proyecto”: dialec?ca del gobierno neoliberal
② El “proyectorado” geografico en Bolivia ③ Como contrarestar la asimetría de relaciones
centro periferie a par?r de la IDE-‐EPB?
31.10.12 Louca Lerch, Universidad de Ginebra 4
① La geo-‐codificación del mundo y la gubernamentalidad
“Gubernamentalidad”? “conjunto consLtuido por las insLtuciones, los procedimientos, análisis y reflexiones, los cálculos y las tácLcas que permiten ejercer esta forma tan especifica, tan compleja, de poder, que Lene coma meta principal la población, como forma primordial de saber, la economía polí2ca, y como instrumento técnico esencial, los disposi2vos de seguridad. En segundo lugar, por «gubernamentalidad» en2endo la tendencia, la línea de fuerza que, en todo Occidente, no ha dejado de conducir, desde hace muchísimo 2empo, hacia la preeminencia de ese 2po de poder que se puede llamar el «gobierno» sobre todos los de más: soberanía, disciplina; lo que ha comportado, por una parte, el desarrollo de toda una serie de aparatos específicos de gobierno, y por otra, el desarrollo de toda una serie de saberes.” Foucault, M.,2004, Sécurité, Territoire, Popula2on, Cours au Collège de France (1977-‐1978). Paris, Seuil. Traduccion: Angel Gabilondo citado en Giorgi G. , Rodriguez F. ,2007, Ensayos sobre biopoli2ca, Excesos
de vida, PAIDOS, Buenos Aires (p. 213).
31.10.12 Louca Lerch, Universidad de Ginebra 5
Figure 2
1 représenterait un pouvoir à forte composante informationnelle tandis que 3 représenterait un pouvoir à forte composante énergétique. 2, dans ce cas, est une situation moyenne. Il est évident qu'il ne s'agit que d'une image dans la mesure où il est difficile de mesurer l'information (14). Toutefois, malgré cette difficulté de quantification, il est possible d'identifier des situations précises. La relation du fidèle avec son église, tout au moins dans la période contemporaine, relève du vecteur 1, tan-dis que la relation du gardien et du prisonnier relève du vecteur 3.
On notera que pour Foucault et Deleuze : « Tout point d'exercice du pouvoir est en même temps un lieu de formation de savoir ». Ce lien entre savoir et pouvoir est attesté par beaucoup d'auteurs. L'énergie peut être transformée en information donc en savoir ; l'information peut permettre la libération d'énergie donc de force. Le pouvoir est aussi, dans ces conditions, un lieu de transmutation.
Mais qu'est-ce qui fonde le pouvoir ? Selon Lapierre, après de lon-gues et minutieuses enquêtes, ce n'est pas « la nécessité naturelle, mais la capacité qu'ont les hommes de transformer par leur travail à la fois la nature qui les entoure et leurs propres rapports sociaux. Par l'innova-tion technique et économique, les hommes transforment leur milieu naturel. Par l'innovation sociale et culturelle, ils transforment leur milieu social » (15). Le pouvoir s'enracinerait donc dans le travail. Le travail serait ce vecteur minimal et originel défini par deux dimensions : l'énergie et l'information. Le travail c'est de l'énergie informée. Assimi-
(14) Difficile seulement si l'on veut mesurer la « signification » car pour le reste la théorie, issue des travaux de Shannon, est satisfaisante.
(15) Jean-William LAPIERRE, Essai sur le fondement du Pouvoir politique, Paris 1968, p. 677.
48 POUR UNE GEOGRAPHIE DU POUVOIR
RaffesLn, C. 1980. Pour une géographie du pouvoir. Paris: Librairies techniques. p. 48
« Todo punto de ejercicio del poder es al mismo ?empo un lugar de formación de saber »
Figure 2
1 représenterait un pouvoir à forte composante informationnelle tandis que 3 représenterait un pouvoir à forte composante énergétique. 2, dans ce cas, est une situation moyenne. Il est évident qu'il ne s'agit que d'une image dans la mesure où il est difficile de mesurer l'information (14). Toutefois, malgré cette difficulté de quantification, il est possible d'identifier des situations précises. La relation du fidèle avec son église, tout au moins dans la période contemporaine, relève du vecteur 1, tan-dis que la relation du gardien et du prisonnier relève du vecteur 3.
On notera que pour Foucault et Deleuze : « Tout point d'exercice du pouvoir est en même temps un lieu de formation de savoir ». Ce lien entre savoir et pouvoir est attesté par beaucoup d'auteurs. L'énergie peut être transformée en information donc en savoir ; l'information peut permettre la libération d'énergie donc de force. Le pouvoir est aussi, dans ces conditions, un lieu de transmutation.
Mais qu'est-ce qui fonde le pouvoir ? Selon Lapierre, après de lon-gues et minutieuses enquêtes, ce n'est pas « la nécessité naturelle, mais la capacité qu'ont les hommes de transformer par leur travail à la fois la nature qui les entoure et leurs propres rapports sociaux. Par l'innova-tion technique et économique, les hommes transforment leur milieu naturel. Par l'innovation sociale et culturelle, ils transforment leur milieu social » (15). Le pouvoir s'enracinerait donc dans le travail. Le travail serait ce vecteur minimal et originel défini par deux dimensions : l'énergie et l'information. Le travail c'est de l'énergie informée. Assimi-
(14) Difficile seulement si l'on veut mesurer la « signification » car pour le reste la théorie, issue des travaux de Shannon, est satisfaisante.
(15) Jean-William LAPIERRE, Essai sur le fondement du Pouvoir politique, Paris 1968, p. 677.
48 POUR UNE GEOGRAPHIE DU POUVOIR
RaffesLn, C. 1980. Pour une géographie du pouvoir. Paris: Librairies techniques. p. 48
« Todo punto de ejercicio del poder es al mismo ?empo un lugar de formación de saber »
Tendencias contradictorias en la “gubernamentalidad liberal”
Centralización de información desagregada «tácLcas individualizantes de relaciones de poder ». “geo-‐codificación”: desagregación espacial de la información en base a referenciales alfanuméricos (direcciones postales, códigos polí?co-‐administra?vos) y sistemas de coordenadas geográficas. Sistemas de información y monitoreo sobre población, medio ambiente, finanzas… “gobierno a distancia”
Dispersión y heterogeneidad de la información
“la gubernamentalidad no siempre es estatal…” Empresas de levantamiento geográficos, operadores de redes…, ONG’s, proyectos de desarrollo
territorial, etnodesarrollo… , “neoliberalismo social” Es un forma de ejercer el poder que consiste en « disponer cosas mas que en imponer leyes »
Donzelot, J. 2008. A propos de la gouvernementalite. Discussion avec Colin Gordon. Rose-‐Redwood, R. S. (2006). "Governmentality, Geography, and the Geo-‐Coded World." Progress in Human Geography 30(4):
469-‐486., Laborier, P. & P. Lascoumes, 2004. « L’ac?on publique comprise comme gouvernementalisa?on de l’État». Travailler avec Michel
Foucault. Retours sur le poli2que) 31.10.12 Louca Lerch, Universidad de Ginebra 8
Mecanismos que moLvaron el desarrollo de las tecnologías de la información geográfica en Bolivia en los años 1990-‐2005.
Gobierno “neoliberal”
“proyectorado” “a distancia”
Organización « por proyecto », financiamiento
externo
Geo-‐codificación del territorio. Instrumentos monitoreo
desagregado de la población y el
medio ambiente
Centralización y desagregación
Dispersión y heterogeneidad
« Proyectorado » un “2po de pensamiento fragmentado que hace percibir [a los
gestores públicos] la realidad como un conjunto de “proyectos”” (Rodriguez Carmona, 2009) en detrimento de la
capacidad del Estado ejecutar polí?cas públicas homogéneas a escala del país y elaborar una estrategia eficaz en la captación
y distribución de recursos fiscales.
Rodriguez-‐Carmona, A. 2009. El proyectorado, Bolivia tras 20 años de ayuda externa. La Paz: Plural.
El estudio del caso boliviano demuestra un relaLvo fracaso de esta forma de gobierno. • 2000-‐2005:“Estado débil”, 5 gobiernos zombi, pero inicio
de un proceso de descentralización y reconocimientos de de territorios indígena… “Estado débil” y “Neoliberalismo Social”
• 2006-‐2009 (Evo Morales) : gobierno regulador pero “Estado miope”. Profundización de un proceso de fortalecimiento de actores territoriales locales vía procesos de redistribución de la Renta petrolera (IDH), reconocimiento cons?tucional de las Autonomías territoriales. Pero muy poca información sobre el territorio… “proyectorado post-‐neoliberal?”
Gautreau, P. & J. C. Garavaglia, 2012, The Weak-‐State Cadastre: Administra?ve Strategies to Build Territorial Knowledge in Post-‐colonial Argen?na (1824 to 1864). Cartographica: The Interna2onal Journal for Geographic Informa2on and Geovisualiza2on, 47, 29-‐49 Andolina, R., N. Laurie & S. A. Radcliffe. 2009. Indigenous Development in the Andes: Culture, Power, and Transna2onalism. Duke University Press.
Organización
« por
proyecto »,
financiamien
to externo
Gobierno “ post-‐
neoliberal” ?
Ruptura con el neo-‐liberalismo,
reforzamiento del Estado (pluri)nacional ,
nacionalización de los RRNN, aumento del gasto
publico, Geo-‐codificación de proyectos, políLcas
públicas de la información y
telecocomunicaciones
Hipotesis 2006-‐2012
La implementación de una infraestructura de datos espaciales, sin enfoque temá2co especifico, sostenible financieramente y de libre acceso puede ser un mecanismo adaptado a la regulación de la organización por proyecto y una forma de democra2zar la tendencia a generar bases de datos desagregadas que caracterizan la gubernamentalidad liberal. Las IDEs permiten un “control social” de la gubernamentalidad y la recuperación de una visión holísLca del territorio.
Hipotesis
1980 1990 2000 2010
ERTS USAID
Proyecto Especial Lago TiLcaca OEA-‐UE
SNIAmbiental USAID?
ZONISIG Holanda
SIG-‐UDAPE/UDAPSO USAID?
SNIDesarrollo(Sostenible) BID 929 /USAID/PNUD
PLAMACH-‐BOL
ONG: IC/WCS/WWF/FAN/PI/CIPCA/SIBTA/F?erra/CEGIS/CPTI
SNIOrdenaminto Territorial Holanda
Bid-‐Amazonia
BOLFOR USAID
SIAPAD/Georiesgo CAN
SUNTierra Dinamarca
IDE-‐IGM
SITApoyo a a Produccion España
Principales Proyectos de Sistemas de Información Geográficos creados en el Estado Boliviano, todos con financiamiento externo a mas que 70%
Centro Digital de Recursos Naturales de Bolivia (CDNRB)
Texas A&M University
GeoBolivia Suiza/ Bolivia
Proyectos de Sistema de Información del Estado con menos de 60% de financiamiento externo
Sistemas de Información externos al Estado. 100% financiamiento externo
Fuentes: Entrevistas a Boris Arias (2011), Fernando Molina (2012), notas de Pierre Gautreau (2011-‐12), notas Louca Lerch (2007-‐12)
31.10.12 Louca Lerch 16
Reforama Agraria INRA: El levantamiento catastral boliviano fué finaciado hasta 2009 a en modalidad “por proyecto” a mas de 70% por agencias de cooperación externa .
Mapa de localización de los “proyectos de sanenamiento” manejados por el INRA hasta 2008 (approximadammente), agregado por financiadores
Hoy
http://essm.tamu.edu/bolivia/info_geoespacial_vector_es.htm
La libre distribución de información geográfica dependía de 2004 a 2011 casi exclusivamente de una pagina web mantenida por la Universidad de Texas (USA)
Tipologia de respuestas recibidas por la Vicepresidencia del Estado Plurinacional a su primer requerimiento de datos geograficos.
Enfrentando el « proyectorado » en el Estado
• La información geográfica solo subsiste al estado de sub-‐producto de proyectos específicos y no forma parte de los instrumentos de gobierno.
• Se pretende que la información esta disponible en internet, sin embargo resulta técnicamente imposible acceder a esta.
• La información geo espacial no esta sistema?zada y ordenada. Por lo tanto no esta disponible para nadie.
• Se pretende vender información publica a la vicepresidencia del estado. Además, la ins?tución simplemente se niega a responder al requerimiento de metadatos.
31.10.12 Louca Lerch, Universidad de Ginebra 19
La organización por proyecto de la recoleccion, sistema?zación y distribución de información genera formas de gobierno problema?cas… • Un Estado “miope”
• Una hyper valorización de algunas areas y poblaciones en detrimiento de otras.
• Mala distribucion de los recursos publicos nacionales e internacionales.
③ Como contrarestar la asimetría de relaciones centro periferie a par?r de la IDE-‐EPB?
31.10.12 Louca Lerch, Universidad de Ginebra 20
Que publica GeoBolivia?
Relevamiento de "capas" disponibles en el servidor cartográfico de GeoBolivia el 24 de sepLembre 2012, clasificadas por insLtución de origen. Fuente: GeoBolivia 2012.
Espacio de Trabajo Descripcion Nº de capas
mddpyep Ministerio de Desarrollo Productivo y Economia Plural 1 mddryt Ministerio de Desarrollo Rural y Tierras 17 mde Ministerio de Educacion 1 mdg Ministerio de Gobierno 1 mdhye Ministerio de Hidrocarburos y Energia 10 mdmaya Ministerio de Medio Ambiente y Agua 7 mdopsyv Ministerio de Obras Publicas, Servicios y Vivienda 2 mdpdd Ministerio de Planificacion del Desarrollo 57 mdre Ministerio de Relaciones Exteriores 1 msyd Ministerio de Salud y Deportes 2 abc Administradora Boliviana de Carreteras 1
abt Autoridad de Fiscalizacion y Control Social de Bosques y Tierra 7
asfi Autoridad de Supervision del Sistema Financiero 4
att Autoridad de Regulacion y Fiscalizacion de Telecomunicaciones y Transporte 3
fndr Fondo Nacional de Desarrollo Regional 1 GobDepartamento Gobiernos Departamentales 54 GobMunicipal Gobiernos Municipales 22 igm Instituto Geografico Militar 7 ine Instituto Nacional de Estadistica 1 inra Instituto Nacional de Reforma Agraria 1 NatureServe ONG Nature Server 308 onu Organizacion de las Naciones Unidas 1 otros Otras fuentes 4
senasag Servicio Nacional de Sanidad Agropecuaria e Inocuidad Alimentaria 2
sergeotecmin Servicio Geologico Tecnico de Minas 4 sernap Servicio Nacional de Areas Protegidas 7 snhn Servicio Nacional de Hidrografia Naval 1 udape Unidad de Analisis de Politicas Sociales y Economicas 23 Total 550
Facilitar acceso a los datos “crudos” en formatos interoperables para mejorar la calidad y comparabilidad de los proyectos y estudios presentados por actores locales al Estado y agencias de cooperación. Romper con los monopolios y el “mercado negro” de datos.
WEB: población
Servidores centrales IDE-‐EPB
Segunda Fase GeoBolivia, estrategia de actualización de datos y metadatos espaciales FLUJO DE DATOS, Mecanismos técnicos e ins?tucionales que facilitaran el “control social” de la calidad y actualizacón de la información publicada
Otros
Integración automa?zada (harves2ng) según estándares OGC sin perdida de potestades ins?tucionales.
Comité interinsLtucional y unidad técnica GeoBolivia
Proveedores Estatales o integrados por convenio que NO estén integrados a un nodo
Actualización indirecta mediante entrega administra?va
Proveedores internacionales y
no gubernamentales
Geoservicios Web
Paginas web de la ins?tuciones proveedoras
Comisión de usuarios y proveedores
Catalogo de metadatos interac?vo
Nodos temáLcos
SUNIT SITAP
SINAGER
Datos Geoservicios y metadatos
Datos y metadatos
Datos Geoservicios y metadatos
Actualización directa si capacidad técnica demostrada
WEB: población
Servidores centrales IDE-‐EPB
Segunda Fase GeoBolivia, estrategia de actualización de datos y metadatos espaciales
Otros
Integración automa?zada (harves2ng) según estándares OGC sin perdida de potestades ins?tucionales.
Comité interinsLtucional y unidad técnica GeoBolivia
Proveedores Estatales o integrados por convenio que NO estén integrados a un nodo
Actualización indirecta mediante entrega administra?va
Proveedores internacionales y
no gubernamentales
Geoservicios Web
Paginas web de la ins?tuciones proveedoras
Comisión de usuarios y proveedores
Catalogo de metadatos interac?vo
Nodos temáLcos
SUNIT SITAP
SINAGER
Datos Geoservicios y metadatos
Datos y metadatos
Datos Geoservicios y metadatos
Actualización directa si capacidad técnica demostrada
WEB: población
Servidores centrales IDE-‐EPB
Segunda Fase GeoBolivia, estrategia de actualización de datos y metadatos espaciales
Otros
Integración automa?zada (harves2ng) según estándares OGC sin perdida de potestades ins?tucionales.
Comité interinsLtucional y unidad técnica GeoBolivia
Proveedores Estatales o integrados por convenio que NO estén integrados a un nodo
Actualización indirecta mediante entrega administra?va
Proveedores internacionales y
no gubernamentales
Geoservicios Web
Paginas web de la ins?tuciones proveedoras
Comisión de usuarios y proveedores
Catalogo de metadatos interac?vo
Nodos temáLcos
SUNIT SITAP
SINAGER
Datos Geoservicios y metadatos
Datos y metadatos
Datos Geoservicios y metadatos
Actualización directa si capacidad técnica demostrada
• SINAGER• (riesgos)
• SUNIT• Tierras
• SNID• Planificación • Territorial
• AGUA Y • MEDIO AMBIENTE
• AGUA Y • MEDIO AMBIENTE
• PROYECTOS• (MINISTERIO DE• LA PRESIDENCIA)
• OTROS
BN OR PO
LP CB TJ
SC
PD
CH
COOPERACION
INTERNACIONAL
UNIVERSIDADES
OTRAS AUTONOMIAS
(ALCALDIAS, TIOC's, ETC
• IGM• Cartografía Base
IDE-EPB
• SINAGER• (riesgos)
• SUNIT• Tierras
• SNID• Planificación • Territorial
• AGUA Y • MEDIO AMBIENTE
• AGUA Y • MEDIO AMBIENTE
• PROYECTOS• (MINISTERIO DE• LA PRESIDENCIA)
• OTROS
BN OR PO
LP CB TJ
SC
PD
CH
COOPERACION
INTERNACIONAL
UNIVERSIDADES
OTRAS AUTONOMIAS
(ALCALDIAS, TIOC's, ETC
• IGM• Cartografía Base
IDE-EPB
Ar?cular los productores de información dentro de las ins?tuciones de gobierno y sus interlocutores de escala nacional y transnacional: “nodos temaLcos”
• SINAGER• (riesgos)
• SUNIT• Tierras
• SNID• Planificación • Territorial
• AGUA Y • MEDIO AMBIENTE
• AGUA Y • MEDIO AMBIENTE
• PROYECTOS• (MINISTERIO DE• LA PRESIDENCIA)
• OTROS
BN OR PO
LP CB TJ
SC
PD
CH
COOPERACION
INTERNACIONAL
UNIVERSIDADES
OTRAS AUTONOMIAS
(ALCALDIAS, TIOC's, ETC
• IGM• Cartografía Base
IDE-EPB
Ar?cular los productores y usuarios de información a nivel de Autonomias: “nodos territoriales”
Concretamente
• Desarrollo de una estructura nodal: proto?po nodo medio ambiente: hBp://sibab.geo.gob.bo/spip/
• Posibilidad mediante la API GeoBolivia y servicios de servidores virtuales gratuitos de crear IDE’s locales sin tener que inver?r en hardware ni so{ware: proto?po IDE El Alto: hBp://upea.geo.gob.bo
Figure 2
1 représenterait un pouvoir à forte composante informationnelle tandis que 3 représenterait un pouvoir à forte composante énergétique. 2, dans ce cas, est une situation moyenne. Il est évident qu'il ne s'agit que d'une image dans la mesure où il est difficile de mesurer l'information (14). Toutefois, malgré cette difficulté de quantification, il est possible d'identifier des situations précises. La relation du fidèle avec son église, tout au moins dans la période contemporaine, relève du vecteur 1, tan-dis que la relation du gardien et du prisonnier relève du vecteur 3.
On notera que pour Foucault et Deleuze : « Tout point d'exercice du pouvoir est en même temps un lieu de formation de savoir ». Ce lien entre savoir et pouvoir est attesté par beaucoup d'auteurs. L'énergie peut être transformée en information donc en savoir ; l'information peut permettre la libération d'énergie donc de force. Le pouvoir est aussi, dans ces conditions, un lieu de transmutation.
Mais qu'est-ce qui fonde le pouvoir ? Selon Lapierre, après de lon-gues et minutieuses enquêtes, ce n'est pas « la nécessité naturelle, mais la capacité qu'ont les hommes de transformer par leur travail à la fois la nature qui les entoure et leurs propres rapports sociaux. Par l'innova-tion technique et économique, les hommes transforment leur milieu naturel. Par l'innovation sociale et culturelle, ils transforment leur milieu social » (15). Le pouvoir s'enracinerait donc dans le travail. Le travail serait ce vecteur minimal et originel défini par deux dimensions : l'énergie et l'information. Le travail c'est de l'énergie informée. Assimi-
(14) Difficile seulement si l'on veut mesurer la « signification » car pour le reste la théorie, issue des travaux de Shannon, est satisfaisante.
(15) Jean-William LAPIERRE, Essai sur le fondement du Pouvoir politique, Paris 1968, p. 677.
48 POUR UNE GEOGRAPHIE DU POUVOIR“La relación del fiel, por lo menos en la epoca contemporanea, se expresa con el vector 1, mientras que la relación del guardian con su prisionero se expresa con el vector 3”
RaffesLn, C. 1980. Pour une géographie du pouvoir. Paris: Librairies techniques. p. 48
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